Kaká, le célèbre footballeur qui a pris sa retraite en 2017, a flirté avec l’idée de plonger à nouveau dans le monde du football, mais cette fois-ci, en dehors du terrain. Lors d’une discussion avec le portail Quinto Quarto, il a partagé, avec une lueur dans les yeux, son rêve de devenir dirigeant ou, encore plus ambitieux, propriétaire d’un club de football : “C’est l’une des choses auxquelles je pense. Avoir une équipe“, réfléchit-il, laissant entrevoir ses aspirations.
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Il s’imagine au cœur de l’action, non pas en marquant des buts, mais en tissant lui-même la trame de la stratégie et des décisions commerciales de l’équipe. “Ainsi, vous participez un peu plus directement“, a-t-il expliqué, avec une passion évidente.
Il a parlé de son amour pour le rôle global de la direction générale, un domaine qu’il a hâte d’explorer, bien que la bonne opportunité ne se soit pas encore présentée : “J’aime beaucoup l’idée de la direction générale. C’est quelque chose que j’aimerais, mais je n’ai pas encore trouvé d’opportunité en ce sens“, partage-t-il, avec une pointe de nostalgie dans sa voix.
Kaká rejoindra-t-il São Paulo ?
Interrogé sur la possibilité de rejoindre le São Paulo, le club qui a gravé son nom dans l’histoire du football brésilien et où il est vénéré, notamment s’il se transforme en Société Anonyme de Football (SAF), la réponse de Kaká était teintée d’humour et d’admiration pour ce modèle. “Y avez-vous pensé ? Je pense que la SAF est une voie intéressante pour les clubs de football brésiliens“, a-t-il réfléchi à voix haute.
⭐️ Kaká ⭐️#VamosSãoPaulo 🇾🇪 pic.twitter.com/eCg4wIFg91
— São Paulo FC (@SaoPauloFC) December 16, 2023
Ensuite, il a souligné les avantages de ce modèle, tels que la diversification des sources de revenus et, surtout, un plus grand contrôle sur la gestion du club. “La grande avantage de la SAF… c’est que vous pouvez contrôler la gestion“, a-t-il noté, pesant ses mots.
Il a reconnu que cela ne garantit pas toujours le succès, mais a souligné le changement significatif vers le choix d’une gestion basée sur la professionnalité plutôt que sur l’affiliation politique. “Mais le fait que vous puissiez choisir des professionnels au sein d’une SAF, contrairement au modèle associatif, où ce sont souvent des postes politiques avec d’autres intérêts, je pense que c’est vraiment un grand avantage pour la SAF“, a-t-il conclu, optimiste mais réaliste quant à l’avenir des clubs brésiliens adoptant ce modèle.
