Accueillir une Coupe du Monde de football n’est vraiment pas de tout repos. La compétition sportive la plus médiatisée au monde n’en fini pas de faire parler alors qu’elle ne débutera que dans trois ans.
Les nouvelles enceintes remises en cause
Et au coeur du cyclone cette fois-ci, la nouvelle architecture des stades. La Fifa impose de plus en plus de normes destinées à magnifier les stades. C’est dans ce but que de plus en plus d’aires de jeu sont couvertes. Si le confort, visuel et physique, du public est assuré, la pelouse le supporte-t-elle vraiment ?
Rien n’est moins sûr lorsque l’on se penche sur les ressentis des joueurs après le Mondial sud-africain. Nombreux sont ceux qui ont dénoncés un manque de confort. Une inquiétude parfaitement illustrée par Daniel Tapia (responsable du stade Morumbi) : “La Fifa éxige de plus en plus de normes pour une question esthétique. Mais il ne sert à rien de construire des enceintes coûteuses si elle ne durent que sur une courte période.”
La raison du scandale ? Le manque de soleil qui pénètre dans le stades et, à fortiori sur la pelouse. la question peut donc se poser de savoir comment être le plus éfficient possible dans la construction de ces futurs joyaux. D’autant que la Coupe du Monde se disputera en hiver dans l’hémisphère sud.
La situation, si elle préoccupe est prise du bon côté des choses par Artur Melo, chef de la pelouse de l’Engenhão : “La Coupe du Monde est un formidable vecteur pour repenser et améliorer notre savoir faire.“
