Le Manchester City possède un atout supplémentaire pour gagner des matchs et remporter des titres : la superstition d’Ederson. Le gardien brésilien a révélé lors d’une entrevue avec “TNT Sports” qu’il ne porte qu’un seul caleçon par saison. Depuis 2015, il utilise la même pièce de sous-vêtement pour tous les matchs auxquels il participe.
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Ederson réutilise le même caleçon à chaque match et ne le remplace qu’à la fin des compétitions. Cette habitude lui vient de son passage au Benfica et il croit que cette superstition lui a porté chance, puisqu’il a remporté sept titres de championnat au cours des huit dernières années.
“J’ai la superstition de porter le même caleçon à chaque match. Je le lave, bien sûr. Je ne peux pas le perdre, c’est toujours le même. Ma famille le sait déjà et le conserve précieusement. Je n’utilise qu’un caleçon par saison, car il s’use beaucoup. Cela a commencé à l’époque du Benfica et cela a fonctionné. Au cours des huit dernières années, j’ai remporté sept titres nationaux. Ça porte ses fruits”, a révélé le joueur brésilien de Manchester City.
Ederson est l’un des joueurs les plus couronnés de succès de sa génération. À 29 ans, il a déjà remporté 18 titres au cours de sa carrière, dont 14 avec Manchester City, trois avec Benfica et un avec l’équipe nationale brésilienne.
Lors de cette même entrevue, le numéro 31 des Citizens a plaisanté en affirmant que sa superstition se prolongera jusqu’à la finale de la Ligue des champions. Ederson a assuré qu’il portera son “caleçon porte-bonheur” à Istanbul, où Manchester City affrontera l’Inter Milan le 10 juin pour tenter de remporter son premier titre dans la compétition.
Une performance remarquable d’Ederson sur le terrain
Ederson’s unique superstition 🧐 pic.twitter.com/QQVjHk99Dc
— City HQ (@City_HQs) May 31, 2023
En plus de sa superstition, Ederson est également une force sur le terrain pour Manchester City. Même s’il est moins sollicité que le gardien de l’Inter Milan, Onana, le Brésilien affiche de bonnes statistiques dans l’édition actuelle de la Ligue des champions, avec six matchs sans encaisser de buts, 23 arrêts et sept sorties de but.
La superstition est un élément récurrent dans le monde du football. Au fil des années, de nombreux joueurs, entraîneurs et supporters ont adopté des rituels dans l’espoir de voir leur équipe remporter la victoire et devenir championne. Par exemple, Zagallo, une légende de l’équipe nationale brésilienne et quadruple champion du monde, était connu pour sa relation étroite avec le numéro 13.
En Angleterre, l’ancien défenseur de Chelsea, John Terry, était l’un des joueurs les plus superstitieux de sa génération. Il aimait garer sa voiture au même endroit, occuper la même place dans le bus et écouter les mêmes chansons pendant sa période sous les couleurs des Blues. Chacun de ces rituels était censé lui porter chance.
