Dani Alves ne sera pas non plus libéré de prison aujourd’hui pour ne pas avoir payé le million d’euros de caution fixé par le tribunal espagnol pour accorder sa libération provisoire. Les représentants légaux devaient initialement payer la somme avant 14h heure locale (10h au Brésil), et ensuite le délai a été prolongé d’une heure supplémentaire, mais ils ne l’ont toujours pas fait.
L’équipe de défense de l’ancien arrière latéral de l’équipe nationale brésilienne, condamné à quatre ans et demi de prison pour viol, a déclaré hier qu’elle était confiante dans sa capacité à réunir l’argent et à obtenir sa libération en attendant que les appels contre la sentence soient résolus. Cependant, malgré le délai supplémentaire accordé par le service pénitentiaire, cela ne s’est pas produit.
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Cela signifie que le footballeur passera le week-end au centre pénitentiaire de Brians 2 en Catalogne, où il est détenu depuis janvier dernier. Le greffe judiciaire où ils doivent se présenter pour payer la caution est fermé le samedi et le dimanche et rouvrira lundi.
Hier, la famille de Neymar a nié les informations selon lesquelles elle paierait la caution. Plus précisément, c’est le père de la star qui a réfuté les informations des médias, bien qu’il ait aidé Alves à un moment donné avec 150 000 euros pour couvrir les frais de défense juridique.
“Alves est très calme”
Des membres d’un groupe pastoral religieux qui ont visité le sportif en prison hier ont déclaré qu’il est “très calme”, selon les informations des médias catalans. C’est un homme “très religieux”, ont-ils souligné.
D’un autre côté, la presse a souligné la décision surprenante de la femme du footballeur, Joana Sanz, de fermer son compte Instagram. Cette femme a toujours publiquement soutenu Dani Alves, même pendant le procès qui s’est tenu le mois dernier.
Alves a été reconnu coupable de viol sur une femme dans les toilettes de la discothèque Sutton à Barcelone dans la nuit du 30 décembre 2022. Le footballeur de 40 ans affirmait qu’il y avait consentement et niait toute violence. Cependant, le tribunal qui a jugé l’affaire a rejeté sa version et a expliqué que “pour qu’il y ait agression sexuelle, il n’est pas nécessaire qu’il y ait des blessures physiques, ni qu’il y ait une opposition héroïque de la victime à avoir des relations sexuelles.”
