Cette nuit, le Brésil va disputer sa première rencontre de la 26ème Copa America, compétition qui se déroule en Argentine. Le Brésil tenant du titre va tenter de remporter sa douzième couronne, une compétition dont les quatre premiers obtiendront leur billet pour le mondial de la catégorie qui aura lieu cette année en Turquie.
L’Equateur pour débuter
Ce sera les Equatoriens qui seront les premiers adversaires de la formation d’Emerson Ávila sur la pelouse du Stade du Bicentenaire de San Juan. Un adversaire que le Brésil a affronté à plusieurs reprises. Cette rencontre devra se solder par un succès pour éviter à la Seleção grand favori à sa propre succession avec l’Argentine, de puiser dans ses réserves lors des deux autres rencontres face à l’Uruguay et le Venezuela.
Un bilan positif pour la Seleção
Lorsque l’on dresse le bilan des confrontations, le bilan est plus que positif en faveur des Brésiliens, ces derniers après 15 rencontres, comptent 14 victoires pour un nul, lors de la première rencontre en 1967, les deux formations n’avaient pu se départager et s’étaient séparées sur le score de parité d’un but partout. Le Brésil a enregistré sa première victoire en 1983, sur un score sans appel de 3 à 0. Depuis cette année, les Brésiliens sont toujours sortis vainqueurs, avec des scores disparates, deux gros scores en 1988 (7 à 0) et 1995 (5 à 0) sont les victoires les plus larges en faveur des auriverdes. Des attaquants qui se seront plus que bien comportés au cours de ces diverses rencontres en ayant inscrit excusez du peu la bagatelle de 41 buts, alors que les Equatoriens n’ont trouvés qu’à 4 reprises le chemin des filets brésiliens. Le dernier buteur brésilien est le joueur de São Paulo, Casemiro auteur du seul but lors de la dernière rencontre en 2011. Il faut remonter à 2003 pour trouver trace du dernier but équatorien.
L’équipe qui débutera la rencontre devrait se composer de la façon suivante :
Luiz Gustavo, Wallace, Luan (c), Doria e Mansur, Misael, Felipe Anderson, Mattheus, Marcos Junio, Ademilson, Adryan.
